Ce qui se passait d’abject dans les temps bibliques à Sodome et Gomorrhe, et qui a surtout valu à la ville de Sodome sa mauvaise réputation d’avoir été la cité des dépravations sexuelles, n’est pas une fable, comparé à ce qui se passe pareillement dans notre société humaine d’aujourd’hui. S’adonner et se laisser aux faiblesses et pratiques malsaines des déviations inacceptables de la jouissance sexuelle, est un phénomène d’immoralité qui existe et qui réclame ouvertement maintenant son droit de cité.
On a connu, en Côte d’Ivoire, ces pratiques contre-nature de la sodomie, de l’homosexualité et de la péderastie sous des appellations masquées : le « club rouge », les « Bèhè », les « Tapètes », les « Gays », les « Femelles », etc. Un autre cas de sexualité contre-nature, pratiquée par des femmes devenues des lesbiennes, les a fait connaître sous le nom amusant et intriguant de « Ĺé-lé ».
Les adeptes de ces chosifications et bestialisations sexuelles sont partout, tapis dans tous les secteurs d’activité de la société humaine : dans la classe politique et dirigeante, dans le monde des affaires, dans le show-biz, dans les Arts, dans les milieux des journalistes et des écrivains, dans les cercles estudiantins, en milieux scolaires, dans les sports (sur les milieux du football prifessionnel), etc.
En son temps, en Italie, le peintre de génie, Léonard de Vinci, auteur de la célèbre toile de « La Joconde », était aussi connu pour son goût de l’homosexualité. Dans la France du 19e siècle, il y a eu, en milieux littéraires, cette histoire d’homosexualité entre deux poètes, Paul Verlaine et Arthur Rimbaud, et qui se termina par un drame – car Paul Verlaine avait, par dépit amoureux, tiré des coups de pistolet sur le jeune Rimbaud, et le blessa.
Le cas affirmé du poète anglais Oscar Wilde s’y ajoute, de même que celui du philosophe Raymond Aaron, au 20e siècle. En Côte d’Ivoire (et en Afrique de l’ouest), ce phénomène est aujourd’hui connu sous l’appellation étrange de « Woubisme », et l’homosexuel est qualifié de « Woubi ».
Trop de jeunes gens issus pour la plupart des quartiers précaires, ont ainsi été victimes de leur grande naïveté
Les bonnes mœurs, la morale et les valeurs humaines puritaines s’y meurent, sous cape. Car sous cape, cette frénésie de l’homosexualité pratiquée à des niveaux insoupçonnés gagne du terrain. L’oisiveté, le chômage et la misère chroniques livrent les jeunesses à la merci des prédateurs homosexuels, péderastes et sodomites, ainsi qu’aux incurables maladies vénériennes (Sida, hépatites virales, et autres maladies mystérieuses), liées à ces pathologiques pratiques de combustion sexuelle, qui les ravagent en les conduisant à la mort certaine.
Trop de jeunes gens issus pour la plupart des quartiers précaires, ont ainsi été victimes de leur grande naïveté. Car, en plus d’être une forme de pathologie inguerissable développée par des psychopathes et des déséquilibrés psychologiques, l’homosexualité a des connotations et relents mystiques et occultes.
Ceux qui, dans les milieux homosexuels, ont le rôle de mâles virils, sont des gens fortunés qui paient cash en sommes sonnantes et trébuchantes, pour soumettre des victimes consentantes à leur acte de sodomie. Ces « mâles virils » homosexuels tireraient de leurs « femelles » du moment, l’énergie vitale nécessaire à leurs pratiques occultes et mystiques.
Ce qui, selon les croyances en ces fantasmes, augmenterait le prestige humain, économique et social de ces « mâles » dominants et payeurs. À force de se faire ainsi « femelles », les jeunes aspirants homosexuels attirés par l’appât du gain, finissent le plus souvent par être des garçons au rectum qui lâche facilement et les oblige à porter des couches-culottes, pour leur éviter l’écoulement du fluide anal.
Le plus grave, est que des gouvernements occidentaux légifèrent pour faire reconnaître le droit à la différence
Nous vivons l’ère flambante d’une société de grande consommation, qui oblige les gens à se prémunir d’un grand pouvoir d’achat. L’un des travers d’une telle société en marche, est l’ostentatoire, ce que la mode hyppique appelle le « bling-bling », le m’as-tu vu, le besoin effréné de paraître flambant et vivant de luxe sous des jours glorieux.
Ce sont, en somme, de tels signaux lancés dans la société crépusculaire, par l’ »élite » aisée et richissime de la communauté homosexuelle, qui attirent la masse de jeunes désœuvrés et de ceux qui sont à la recherche du gain facile. Ceux-là viennent massivement agrandir, en prenant goût à se vendre et se prostituer aux plus offrants, cette communauté des gens à la sexualité immorale.
Aujourd’hui, cette communauté homosexuelle, qui intègre les adeptes transgenres et les lesbiennes, apparaît dans le monde des « Grandes Démocraties », sous la dénomination de LGBT+. Le plus grave, est que des gouvernements occidentaux légifèrent pour faire reconnaître le droit à la différence, revendiqué par cette communauté LGBT+, et pire, imposer cette reconnaissance aux gouvernements des pays pauvres et faibles du Sud, dont les demandes d’aides publiques au développement sont soumises à une légifération nationale du droit de reconnaissance des homosexuels. Ce qui implique le droit au mariage civil entre gays.
De l’écrivain ivoirien
Sylvain Takoué